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 ZELDA A. GOLDSMITH

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AuteurMessage
Lorelei K. Ritcher
Messages : 41
Date d'inscription : 31/08/2013

Feuille de personnage
test: rgergerg
Lorelei K. Ritcher


MessageSujet: ZELDA A. GOLDSMITH   ZELDA A. GOLDSMITH EmptyDim 4 Jan - 12:40



"Continue avec la cire, pépé, mes bottes vont briller!"

ZELDA A. GOLDSMITH 757506zelda
 

Informations

Nom : Goldsmith
Prénom : Zelda, Alys
Surnom : Elle résume son nom de scène à « Zelda »
Age :  26 ans
Sexe :  Féminin
Orientation Sexuel :  Homosexuelle
Statut Social (argent): Moyen, elle pourrait mieux gagner sa vie mais c'est une dépensière née. Elle est actuellement célibataire et le vit bien ainsi.
Métier (hum): Dessinatrice de doujins yuris, rappeuse (japonaise et parfois anglaise) indépendante pendant ses heures perdues. Lorsqu'elle a besoin d'argent, il lui arrive de laisser ses passions de côté pour gérer des petits boulots.
Groupe : Maîtresse neutre. Elle est souvent considérée comme gentille mais elle est socialement invivable.
Autre : Elle a des origines anglaises mais est née en Chine. Elle a passé un moment au Japon avant de venir en France, elle parle couramment chinois, japonais, anglais et français. Malgré tout, elle garde un accent entre le chinois et le japonais lorsqu'elle parle français


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Physique
Tu n’as pas grand-chose pour plaire, il faut bien l’avouer. Petite, maigrichonne, sans formes. Un petit mètre cinquante-deux pour quarante kilogrammes à peine, un vulgaire bonnet A tandis que l’on te voit presque les côtes. Tu ne grossis pas malgré toute la mal bouffe que tu arrives à ingurgiter. Non ce n’est pas une maladie, juste un don du ciel que tu remercies, tu préfères tout de même être comme tu es qu’obèse.

Mais tu envies ces femmes aux formes développées, aux regards de biches charmant les autres d’un regard, toi tu ne pouvais pas, apeurant quiconque s’approchant de toi à cause de ce bandeau te cachant la vue, toi borgne à l’œil d’or. Une maladie incurable qui t’avait privé de ton œil, te rendant presque aveugle alors que tu n’étais déjà pas gâtée. Pour tout dire, tu ressembles à l’intello de service avec tes grosses raybans collées sur le bout de ton nez, aux grosses bordures noires et aux branches rayées.

Une bouille enfantine, jamais maquillée, aux cheveux violâtres, coupés courts au-dessus des épaules en dégradé, dont une frange gênante vint te gâcher un peu plus la vue que tu attaches souvent en un palmier au-dessus de ta tête.

Un sourire embellissant ton visage, ton petit nez et tes fines lèvres, ta voix plus grave que la moyenne, te donnant un air de garçon manqué.

C’est d’ailleurs ce que tu es, ou du moins ce que tu laisses paraître, tu as un style vestimentaire relativement simple, chemise, pull trop grand, jeans amples, sarouels, jupes t’arrivant aux mollets, grosses rangers ou encore converses. Un sac couvert de pin’s en tout genre, des bracelets colorés aux répliques connues par les gens de ton « espèce » comme tu le dis si souvent.

Caractère
10 lignes mini
Ecrire ici votre caractère, vous pouvez faire une liste comme un long texte du moment qu'il y a les mots requit.


Histoire
Tu soupiras un instant. Pourquoi avais-tu accepté ce pari pourri ? Raconter ta vie en dessin ? Mais quelle conne tu as été. Tu aurais pu continuer de torsher ce Hyrule Warriors, nicker les gens sur Monster Hunter en online, toi qui avait fini les finitions de ton dernier doujin. Mais non, tu avais accepté ce pari à la con.

Non de dieu, plus jamais tu ne te laisseras avoir par ce genre de merde. Tu aurais pu ne pas le faire, trouver une excuse, mais tu n’étais pas du genre à te défiler. Tu allais lui rendre un pavé à ce petit joueur et il allait voir.

Tu attrapas ton crayon, gribouillant d’abord quelques petites conneries sur ta feuille d’un air refourgué. Que pouvais-tu raconter ? Quel évènement t’avait marqué ? Ta vie n’avait rien de palpitant, elle était banale, normale.

Pourtant, tu avais attaqué, sans vraiment t’en rendre compte, parlant rapidement de ta naissance, moment dont tu ne te souvenais plus bien évidemment, le passant rapidement pour arriver à ton enfance, née en Chine, Tianjin avec des origines toutes sauf asiatique, un nom de famille anglais et des traits européens. Tout ce qu’il fallait pour ressembler à la typique étrangère, te recevoir des piques ennuyantes et être la risée des élèves de ta classe.

Puis t’avais rien pour plaire, petite, maigrichonne avec des culs de bouteilles que les branleurs amusaient à casser pour rire de ta faiblesse et à chaque fois, tu chialais comme une conne, rentrant chez toi la queue entre les jambes, terrorisée par les autres, te renfermant sur toi-même, fuyant la sociabilité pour t’enfermer dans ton monde.

C’est au collège que tu découvris ce qui allait devenir ton gagne-pain et tu t’y jetas à deux pieds, passant tes heures de libre loin des autres, cachée à lire des mangas, à mater des animes sur ton téléphone ou encore dessinant.

Tu avais un don et tu as très vite appris à t’en servir, tes camarades commençaient à te féliciter, contrairement à tes parents qui eux voulaient que tu continues tes études pour devenir une grande personne et ne pas terminer ta vie à croupir dans ta chambre. Ils avaient peur qu’un nouveau délaissement de tes amis t’emmène au fond du gouffre, toi qui vivait dans un pays au taux de suicide le plus élevé.

Vous aviez d’ailleurs perdu une élève de cette manière, elle s’était jetée d’un pont sur le chemin du retour, la cause ? Des résultats surement trop mauvais ou un râteau provenant d’un garçon. A 14 ans, le moindre refus semblait être une catastrophe, du moins pour les autres filles.

Toi t’y a jamais rien compris, tu t’en fichais des mecs, tu préférais rester avec les filles, les serrer dans tes bras ou faire ta malheureuse pour te faire chouchouter. En parlant de ça, tu étais tombée amoureuse de l’infirmière du collège, te défonçant à chaque cours de sport pour y faire un tour, chipotant le moindre mal de ventre ou cherchant la merde pour te faire éclater le nez.

Méthode qui te fait rire à l’heure d’aujourd’hui. Mais cette femme était ton idéal : belle, gentille, douce et surtout bien formée. Tout le contraire de toi. Tu lâchas un soupir, pour le moment tes dessins avaient de la gueule, une petite gamine aux lunettes plus grosses que sa tête se tenait là sur la feuille, avec un air fier et faussement imposant. Tu rias, continuant ton dessin, maintenant amusée.

Tu commenças à apprendre le japonais vers tes dix-sept ans, en plus du français et de l’anglais suite à la crise de tes parents, « ça te serviras toujours ! » et ce n’est qu’actuellement que tu te rends compte qu’ils avaient raison. Tu as terminé tes études au lycée, obtenant ton diplôme sans aller plus loin. Tu t’étais mise au dessin, t’enfermant dans ta chambre, n’en sortant presque plus, supportant les cris de ta sœur qui était tout ton contraire et les engueulades de tes parents voulant « mieux » pour toi.

C’est pour cette raison que tu as fuis la Chine à tes vingt-ans, te cassant au Japon dans le simple but de vivre pleinement la vie que tu avais souhaité. Le peu des économies de tes anniversaires étaient passées dans l’achat de matériels qui te servait encore maintenant pour tes œuvres d’art.

Si on pouvait appeler ça de l’art,  au début tu étais partie pour attaquer la publication de mangas, mais les conditions de travail ne te convenaient pas du tout, te crevant au bout de quelques heures du coup tu es partie sur les doujins, moyen le plus proche que tu avais trouvé pour continuer ta passion et la faire partager aux autres.
Et tu n’avais pas résisté à ce secteur lorsque tu étais allée à la première convention japonaise de ta vie, au Comiket avec des cosplays par milliers, des cds, des doujinshis, des jeux amateurs : Tu étais dans ton monde, ton petit paradis féerique qui semblait s’être crée juste pour toi.

Tu te fis une petite place assez rapidement, de par ton coup de crayon féminin  et surtout  ton style, te spécialisant dans quelque chose qui ne pourrait être montré à tout le monde. Le « Adult Only » comme tu le disait si bien, ce que les petits enfants ne pouvaient pas regarder et que les adolescents un peu plus jeunes regardaient en secret. Les gens étaient surtout surpris par ton identité, beaucoup s’imaginant  à rencontrer un homme, surement peu charmant.

Et finalement, ils tombaient sur toi, une petite naine au cul de bouteilles, se tenant fièrement aux côtés de son stand, prête à t’imposer dans les deux domaines qui t’avaient fait revivre. Le deuxième ? La musique bien évidemment, et pas n’importe quel style de musique : le rap, le pur le dur, le bien masculin.

Ce genre de musique qui plaît autant qu’il rebute, de ta voix grave et peut efféminée, squattant les petits bars dans lesquels tu revenais souvent, gagnant un peu plus d’argent pour vivre convenablement, au milieu de tes fringues sales, de tes doujins et figurines achetées, derrière tes consoles et autres jeux vidéo, vivant telle une Hikkikomori.

Tu vivais de tes passions, ce que les gens ne comprenaient pas, vivant alors une vie où l’argent pouvait se faire rare, te retrouvant parfois sans eau chaude, sans chauffage et sans de quoi se nourrir. Une vie dans laquelle tu te plaisais, dépendante et libre, célibataire et presque fière de l’être. Ce fut d’ailleurs un problème que tu évitais, pas parce que tu étais honteuse de ton orientation, mais parce que tu n’as jamais trouvé  et même jamais cherché : cachant ta frustration au travers de tes œuvres.

Pour être franche, tu ne sais même pas pourquoi tu es venue squatter en France. Peut-être parce tes parents t’avaient promis une aide financière si tu allais t’installer là-bas ? Dans le but de te bouger le cul ? Effectivement, t’es partie là-bas, mais t’as pas changé : squatteuse professionnelle ne sortant presque jamais de chez elle. Ils t’ont donc lâché, te laissant de nouveau te démerder seule. T’avais vingt-trois ans.

C’est vers cet âge que tu perdis l’usage de ton œil gauche, maladie incurable qui te força à cacher cette atrocité derrière un cache-œil. Non, ça ne t’as jamais traumatisé, juste gêné au début mais maintenant c’est une habitude que tu as prise, ne le remarquant presque plus.

Tu posas ton stylet en soupirant. Tu n’avais rien d’autre à rajouter, tu avais tout dit. Ta vie, tes voyages, tes passions, ton problème de santé : tu avais tout récité. En fin de compte tu n’avais pas à te plaindre. Maintenant tu devais continuer à avancer et qui sait, peut-être que ta vie prendra un autre tournant ou peut-être pas ? C’était à Dieu d’en décider …



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ZELDA A. GOLDSMITH

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