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 ANDROMAQUE

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AuteurMessage
Lorelei K. Ritcher
Messages : 41
Date d'inscription : 31/08/2013

Feuille de personnage
test: rgergerg
Lorelei K. Ritcher


MessageSujet: ANDROMAQUE   ANDROMAQUE EmptyDim 4 Jan - 22:34




ANDROMAQUE 609968andromaque
 

Informations

Nom : Rolzhausen
Prénom : Andromaque
Surnom : ...
Age :  23 ans
Sexe :  Féminin
Orientation Sexuelle :  Hétérosexuelle (bi-curieuse)
Statut Social (argent): Bien qu'elle soit souvent présente dans les magazines, elle ne croule pas sous l'argent et vis une petite vie tranquille en tant que simple célibataire en quête de vie de famille.
Métier (hum): Mannequin. Elle travaille quelques fois dans un laboratoire effectuant des expériences sur les hybrides.
Groupe : Protectrice (maîtresse gentille). Suite aux expériences qu'elle a subit, elle est considérée comme une infectée (du coup, protectrice infectée ? )
Autre : En plus de parler français suite à ses origines, elle parle couramment anglais.

Elle est atteinte d'Algie Vasculaire de la Face (maladie apparentée à une migraine extrêmement violente)


Derrière l'écran

Comment a-tu découvert le forum : C'est une si longue histoire !
Comment le trouve-tu :  Aussi swagg qu'un lama, si si !
Des idées pour l'améliorer ? : Je vous ferais forcément part de mes idées dès que j'en trouverai des potentiellement bonnes ♥
Tes disponibilités : 7j/7j, j'essaye de répondre le plus vite possible aux rps.
Les codes du règlement (5 parties):   Les hybrides seront-ils soumis ou seront-ils  libres ?
Surnom/Puf :  Suwbay


Physique
Tu n'es peut-être pas la beauté incarnée, mais tu possèdes tout de même ton charme, aussi faible peut-il être. Tu as su charmer ton agence du haut de ton mètre soixante-cinq pour un poids d'environ soixante kilogrammes, ta silhouette fine et élancée. Un visage aux traits de jeune adulte, aux yeux amande d'un bleu céleste et aux fines lèvres. Un nez presque aquilin et aux pommettes inexistantes. De fines mains aux ongles souvent peints, petites et fragiles. De fines jambes qui pourraient se plier au moindre faux pas et malgré tout, des formes convenables. Un bonnet B te convenant parfaitement.

Tes cheveux y sont peut-être aussi pour quelque chose. Une longue chevelure de noir charbon, lisse mais épaise, te tombant en cascade avant de s'arrêter dans le creux de tes reins. Une frange presque droite cachant ton front. Tu les laisses souvent détachés mais il t'arrive de prendre du temps pour les coiffer de différentes manières, qu'il s'agisse de couettes, queues de cheval, tresses ou encore chignon. Tout dépend de tes shootings aussi.

Un style vestimentaire des plus normal, simple, sobre, banal. Tu aimes passer inaperçu, te plonger dans cette foule sans attirer l'attention, passant aussi bien des simples robes à motifs aux jeans délavés. Tu suis quelque peu la mode sans pour autant y faire grandement attention : ton agence le fait pour toi. Tu portes ce que tu aimes, sans faire attention à l'avis des autres. Tout ce qui fait féminin, mignon et gracieux. Tu aimes porter des talons pour grandir un peu et sembler un peu plus imposante sans pour autant t'interdire les chaussures plates ou bottines. Tant que tu arrives à le porter, le reste t'importe peu.

Par contre, tu aimes tout particulièrement les bijoux et autres breloques, ne sortant jamais sans ton portable où sont accrochés plusieurs petits porte-clés. Rajouter cette touche de coquetterie t'es souvent indispensable, cherchant toujours à innover.

Caractère
Les gens diront que tu es la petite épouse parfaite, la femme que tout homme devrait épouser, fantastique femme au foyer née pour redonner le sourire. Tu ne sais pas vraiment comment le prendre. Es-ce une magnifique qualité ou au contraire un atroce défaut ? Les gens ne se servent-ils pas de ça pour te mener par le bout du nez ? Pour te ranger à leurs bottes et faire de toi ce qu'ils veulent ? Après tout, tu es naïve sur encore beaucoup de points et tu as tendance à accorder trop facilement ta confiance aux gens, incapable de voir les mauvaises intentions de certains à ton égard.

Certains disent que tu es la proie idéale, timide, rougit facilement et pudique, trop gentille et serviable. Toujours prête à faire passer les autres avant toi. Tu souris énormément, comme pour cacher ton passé aux yeux du monde, dissimulant tes peines et tes tristesses dans ce regard parfois faussement enjoué. Tu ne veux pas inquiéter les autres, te montrant toujours joyeuse et heureuse, prête à te cacher derrière un masque lorsque tu en as besoin. Après tout, tu es très faible émotionnellement, et même si tu serres souvent les dents, il n'est pas rare de te voir craquer et pleurer pour des choses parfois inutiles.

Pourtant, les gens ont tendance à t'apprécier, tu es généreuse, sociable et affective. Trop même. Trop câline, trop maternelle. Certains prennent ça comme une qualité, toujours prendre soin des autres, être là pour eux, les encourager, les réconforter, s'occuper d'eux.

Les gens ont plutôt tendance à te prendre pour une petite fille fragile, mais ce n'est pas réellement le cas, sérieuse et studieuse, tu n'es pas la plus idiote de toute et semble doter d'une assez bonne culture générale pour voir converser sans problèmes, du moins c'est ce que tu penses. Tu es très déterminée, prête à soulever des montagnes pour obtenir ce que tu veux et arriver au but que tu t'étais fixée, prouvant aux autres ta force et ta conviction. Autoritaire lorsqu'il le faut, tu peux te montrer très têtue lorsque qu'il le faut. Tu sembles très à cheval sur les règles de vie de base et n'hésites pas à les faire appliquer à ceux qui partagent ta vie.


Histoire
À chaque fois, on parle d'expériences heureuses, qui on étaient un succès et qui ont vu le jour grâce au savoir-faire des scientifiques y travaillant. Je ne sais même pas de quelle manière je dois les considérer, comme de véritables génies ou au contraire d'atroces bouchés ? Ils avaient l'air tellement heureux lorsqu'une expérience arrivait à son terme, lorsqu'ils avaient réussi une nouvelle fois.

C'est dans ce contexte presque macabre que je suis née, moi, fille de scientifique, petite protégée aimée de tous, fille du grand patron, de celui qui commandait les opérations, qui avait tous les autres sous ses ordres. Petite princesse aux souliers de verre qui ne voyait presque jamais la lumière du soleil.

Je ne pouvais qu'aimer mon père, que le bénir et le suivre partout, m'accrochant sans cesse à sa jambe, cherchant en permanence l'affection dont j'avais besoin, qui me faisait vivre et respirer, m'envoler dans de doux rêves, me faire quitter même un instant ce monde fait de blanc.

Vous savez, les gens m'ont souvent prise en pitié, cherchant toujours un moyen de me réconforter, de s'occuper de moi et me faire lâcher ce père presque factice qui se fichait de ma présence. Je n'étais que la jeune héritière d'un domaine économique à son apogée, qui me rapportera une fortune plus tard. Nous n'étions pas très riches à l'heure actuelle, mais le statut social de mon père nous suffisait largement.

Je n'ai jamais eu à me plaindre de ma place dans la société, elle était plus que suffisante pour une petite fille comme moi. J'avais l'habitude de voir des gens étranges, aux attributs animaux, souffrant parfois en silence alors que d'autres le faisaient savoir à tous ceux s'approchant de leurs cellules.À chaque fois, on parle d'expériences heureuses, qui on étaient un succès et qui ont vu le jour grâce au savoir-faire des scientifiques y travaillant.

Parfois ils disparaissaient du jour au lendemain, certains se suicidaient alors que d'autres étaient introuvables, partant finalement pour une animalerie quelconque. Mais ça, je ne le savais pas et personne ne voulait me tenir au courant de ces agissements, souhaitant me garder à l'écart de tout ça pour des raisons obscures, n'acceptant pas mes rapprochements avec certaines de ces créatures dont je ne connaissais même pas le nom.

Puis le jour fatidique est arrivé, ce jour qui a à jamais marqué mon existence toute entière ainsi que celle de mon entourage. J'ai été choisie comme sujet de test supérieur pour des expériences plus importantes et précises que celles normalement faites sur des sujets lambdas. Certains me considéraient comme un échec prématuré, mais d'autres y croyaient vraiment et je ne me souviens plus vraiment de tout. J'avais à peine treize ans à l'époque lorsqu'on m'administra les premières injections, « C'est pour ton bien ! J'ai été choisie comme sujet de test supérieur pour des expériences plus importantes et précises que celles normalement faites sur des sujets lambdas. Je ne pourrais même pas vous décrire la douleur, juste vous dire que les envies d'en finir avec la vie avaient été nombreuses et récurrentes, vomissements, maux de crânes, crampes atroces. Combien de fois ais-je cru que jamais je n'allais me réveiller ? Que ces douleurs ne s'arrêteront jamais ? Qu'ils n'arriveront jamais à faire taire des cris d'agonies ? J'ai commencé à comprendre ce que les autres pouvaient ressentir, pourquoi autant en avait fini avant la fin.

Tout semblait insurmontable. Je voulais tellement qu'ils en finissent, qu'ils m'injectent la dose de trop qui mettra un terme à ce que j'étais devenue, je voulais qu'ils arrêtent les souffrances et tortures, qu'ils me laissent enfin partir et vivre une enfance normale.

Je ne sais pas si c'est Dieu lui-même qui a entendu mes prières, mais tout s'arrêta l'année de mes quinze ans, lorsqu'on me diagnostiqua une Algie Vasculaire de la Face me provoquant des migraines dont je ne pourrais même pas vous parler.

Mais je me souviendrais toujours de leurs regards terrorisés, lorsqu'ils m'ont vu me fracasser le crâne contre le lavabo, hurlant de douleur en cherchant à faire partir cette atrocité de ma tête. Tous les jours, durant trois heures, pendant des périodes interminables. Mon père prit finalement la décision d'arrêter les expériences à mon égard, affirmant que je ne pourrais rien supporter de plus avec cette maladie que personne ne pouvait soigner à l'heure actuelle.

La vérité était pourtant tout autre, j'avais échoué, je n'avais eu aucun résultat positif, je n'étais en somme qu'une expérience ratée, aux gênes de mutant rejeté. Forcément, je ne fus pas exécuté comme la plupart des hybrides dans mon cas et cette mésaventure bouleversa même la relation que j'entretenais avec mon père.

Je vais vous avouer quelque chose. Mon père ne m'a jamais pris dans ses bras, jamais il ne s'est excusé de m'avoir traité ainsi et jamais il ne m'a avoué ce qu'il ressentait, mais je l'ai compris en un seul regard bien plus tard. Il était déjà plus proche, plus disponible, plus protecteur.

J'ai mis un an à me remettre de tout cela, d'abord faible, comparable à un légume, incapable de marcher plus de deux mètres sans l'aide de quelqu'un, m'effondrant sous la douleur, couverte de blessures et griffures qui n'allaient partir que dans plusieurs mois, retrouvant petit à petit mes couleurs et ma joie de vivre : on m'amena dehors, d'abord en fauteuil roulant avant de me laisser gambader, malgré tout toujours accompagnée. Beaucoup m'ont avoués avoir eu peur de moi, dans ma longue chemise de nuit blanche, pied nue alors que ma longue chevelure noire cachait mes yeux et tombaient presque au sol, esquivant les couloirs sombres dans lequel j'errais la nuit.

J'ai échappé à trois années scolaires, de la troisième à la première, suivant des cours par correspondance, cherchant en permanence à prouver à mon père que j'étais capable de remonter la pente et surtout pour qu'il soit fier de moi, pour qu'il me regarde comme un être humain et non un vulgaire échec scientifique. Pour tout vous dire, j'ai eu mon BAC de justesse, sans mention suite à ma persévérance et j'ai décidé d'arrêter mes études à ce moment-là. Non, je ne suis pas allée à la FAC ou partie en BTS ou alternance.

Je ne regretterai jamais ma participation au casting de mannequinat qui s'était déroulée l'année de mes seize ans, et je ne pourrais jamais assez remercier mon père pour avoir accepté. Comme je ne sais toujours pas quoi dire à Dieu pour m'avoir offert cette place d'abord amatrice dans cette agence. Lorsque j'étais arrivée là-bas, tous les autres s'étaient moqués de moi en voyant ce corps encore faible et c'est surement ma détermination à toute épreuve qui me sauva. Une chose est sûre, ils ne m'ont plus jamais lâché. Coup de cœur ? Je ne pourrais vous le dire.

Je suis restée aux côtés de mon père encore quelques années, d'ailleurs je ne pourrais pas oublier cette dix septième année, lorsque je suis tombée nez à nez avec cette allemande dérangée, armée jusqu'aux dents et pourrie jusqu'à la moelle. Son regard malsain, ses mimiques et ses paroles lubriques ... Elle m'avait pris mon père l'espace d'une nuit pour revenir à plusieurs reprises. Combien de coups de feu pouvait-on entendre lorsqu'elle arrivait ? Comment pouvait-on être aussi violente et destructrice ? Jamais je ne pourrais oublier ce moment où elle m'a surplombait en se moquant de moi, affirmant que j'avais une chance en or d'être la fille de Monsieur Rolzhausen.

Tout le monde était en parti au courant. Les médias n'étaient pas passés à côté de l'affaire, « une expérience ratée qui a failli coûter la vie à la fille Rolzhausen. » Qui fut rapidement étouffée par d'autres actualités, toute cette histoire datait d'il y a deux ans après tout.

J'ai continué ma carrière de mannequin sans embuches, passant d'amatrice à professionnelle à l'âge de vingt-ans, posant pour quelques magazines sans jamais m'en lasser. C'est aussi à cette époque que je me suis acheté un petit appartement dans le centre-ville pour laisser mon père tranquille.

Mais ce n'est pas pour autant que j'ai coupé les ponts avec le laboratoire, même si je le voulais j'en étais incapable, je ne pouvais me séparer de mes marques et de mon enfance, aussi mauvaise, soit-elle. Et j'essaye de toujours réconforter les hybrides s'y trouvant encore, pour leur apporter un peu de douceur ou d'espoir. Je ne peux que vous parlez de cette sauvageonne toute droite venue de Malaisie, hurlant et mordant quiconque s'approchant d'elle, menaçant, frappant, massacrant. Elle semblait être l'incarnation de la haine de certains hybrides. Je ne pourrais jamais oublier ce regard mauvais qu'elle me lançait au début avant de finalement m'accepter dans son cercle vital. Jannah n'était pas quelqu'un de mauvais, mais son parcours et son passé avaient fait qu'elle s'était transformée en être incompris.

Actuellement, je ne peux que laisser la vie suivre son cours, vivant tranquillement ma vie. J'essaye d'aider le plus d'hybrides possibles, ameutant les médias, dépensant mes économies pour les aider à survivre, en placer certains sous mon aile. Tout ce qui peut les sauver ne peut que me rendre heureuse ... Après tout, je me considérais un peu comme l'une des leurs ...


© FICHE CRÉÉE PAR REIRA DE LIBRE GRAPH'


Dernière édition par Lorelei K. Ritcher le Lun 12 Jan - 22:19, édité 13 fois
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