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 MIN YOUNG JAE

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AuteurMessage
Lorelei K. Ritcher
Messages : 41
Date d'inscription : 31/08/2013

Feuille de personnage
test: rgergerg
Lorelei K. Ritcher


MessageSujet: MIN YOUNG JAE   MIN YOUNG JAE EmptySam 31 Jan - 21:45



Nom ou citation

MIN YOUNG JAE 471128MINYOUNGJAE
 

Informations

Nom : Min
Prénom : Young-Jae
Surnom : Mino
Age :  25 ans
Sexe : Masculin
Orientation Sexuelle :  Hétérosexuel mais non intéressé
Statut Social (argent):  Banal, il gagne sa vie modestement
Métier (hum): Danseur principal dans un groupe coréen. Il est aussi affilié à l'agence de mannequinat de la ville où il côtoie Andromaque en tant que manageur.
Groupe : Maître neutre
Origines - Nationalités: Coréen, il a vécu une bonne partie de sa vie à Séoul avant de partir vivre en France, il essaye d'obtenir la nationalité française mais ne possède encore que sa nationalité coréenne pour le moment.
Langues parlées : Sa langue maternelle qu'est le coréen, il a ensuite suivi des cours intensifs de français et d'anglais. Malgré un accent assez pitoyable en anglais, il se débrouille relativement bien en français.
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Caractère
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Ecrire ici votre caractère, vous pouvez faire une liste comme un long texte du moment qu'il y a les mots requis.

Histoire
20 lignes mini
Ecrire ici votre histoire, n'hésitez pas à décrire le passé, l'enfance de votre personnage, décrire les personnages, les lieux...

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Lorelei K. Ritcher
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Lorelei K. Ritcher


MessageSujet: Re: MIN YOUNG JAE   MIN YOUNG JAE EmptyLun 2 Fév - 17:20

MIN YOUNG JAE Large

« Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants … »

Je vous arrête immédiatement, les contes de fées et autres conneries mielleuses du genre, c’est pas forcément mon truc. Bien au contraire même ! Comment vous dire que … ma vie n’a été que travail et douleur ? Études et parcours scolaire ? On ne dirait pas au premier regard et pourtant, mes parents ne m’ont jamais vraiment mené la vie simple.

En même temps, la Corée du Sud, c’est pas le pays le plus rose du monde niveau éducation et je n’ai pu que le remarquer durant mes années de collège et lycée. « Votre camarade X ne viendra plus en cours, il a déménagé. » Ce n’était que des bobards, si vous voyez ce que je voulais dire. Le lendemain, les actualités régionales parlaient encore d’un suicide du à la pression du système éducatif.

Être le plus fort, le meilleur, le plus apprécié. Trop de choses que mes parents voulaient pour moi, me forçant à bosser jour et nuit, sans relâche. Comme un putain de forcené qui n’avait que ça à faire.

Vous savez, j’ai eu une petite amie l’espace d’une année, le genre de fille trop studieuse, trop gentille et attentionnée. Toujours là pour me réconforter, m’aider à avancer en m’emportant chaque jour un repas supplémentaire, sachant pertinemment que j’oubliais le mien. C’était un peu le grand amour interdit, une liaison que nous devions cacher du regard vicieux de mes parents possessifs. « Quitte la dès demain. Tes notes ont baissés depuis que tu es avec elle. »

Pour eux, c’était elle, pour moi, c’était simplement le niveau qui augmentait et sur lequel je butais. Mais vous savez, il vaut mieux leur obéir aux parents, sinon ils peuvent vous foutre dehors et vous déshériter sans même vous laisser le temps de réagir. Quesque j’ai fait du coup ? Vous voulez vraiment les détails ? Je l’ai quitté bien sûr, affirmant simplement qu’elle n’ennuyait et que je ne ressentais plus rien, lui tournant le dos sans la saluer, lui crachant presque ça.

Le lendemain, son nom est apparu sur le journal, « Une adolescente désespérée se pend dans sa chambre ». Vous savez ce que ça fait ? Vous vous rendez compte que mes parents n’ont pas dit un mot de cette histoire ? Qu’ils ne sont pas venu me réconforter ? « Bosse, tu as forcément quelque chose à réviser. » Ils n’avaient que ça dans la bouche, les cours, les études, l’avenir.

Putain d’avenir ouais, putain d’avenir de merde. J’avais que seize ans à l’époque. Mais j’étais là, prêt à me la passer … cette putain de corde autour du cou. Pourquoi faire ? Pour la rejoindre dans l’autre monde ? Pour me faire pardonner de ce que je lui avait fait subir ? Bonne question …

J’ai jamais eu les couilles par contre, j’étais incapable d’en finir, me retrouvant là, sans savoir vraiment quoi faire de ma pitoyable existence. Mes parents n’en avaient vraiment rien à faire, me renvoyant chier, m’enfermant dans ma chambre sans rien m’expliquer.

Bosser ? J’en avais plus que marre, d’être premier de la classe, d’être vu comme un chouchou, de plaire aux jeunes filles timides et trop attentionnées. Je ne voulais plus recommencer l’expérience, je ne voulais plus de cette torture cérébrale, de cette honte me rongeant dès que mon regard croisait celui de ses parents.

J’ai tout stoppé du jour au lendemain, recevant les crises et les coups de mon père. « On dépense assez d’argent pour ta petite gueule. » Rien à secouer.  J’ai simplement rendu les coups en lui crachant dessus sous les cris de ma mère.

Ouais j’ai finis dehors, ouais ils m’ont envoyer chez mon oncle sans un mot, m’envoyant dans le centre de Séoul, désorienté et laissé seul par cet homme se fichant bien de mon éducation, « Fais ce que tu veux drôle, moi je m’occupe juste de toi. »

C’était le début de la folie coréenne, le commencement de certains groupes maintenant mythiques de la « Korean Pop » et comme de nombreux jeunes, j’ai été emporté par cette vague, me retrouvant dans des écoles de danses, chacune plus prestigieuse les unes que les autres. J’avais seulement dix-sept ans putain de merde mais je n’ai jamais rien lâché, participant à un nombre incalculable d’auditions avec ce pote, ce mec me ressemblant mentalement, sauf qu’il était plus timide et réservé, rougissant la plupart du temps et s’excusant à longueur de journée.

Faire des efforts porte forcément ses fruits lorsqu’on t’en donne la possibilité. C’est comme avec un vélo. Si t’as envie de monter dessus pour pédaler, tu peux : te faut simplement le vélo. Ils m’avaient filé les bagages nécessaires pour me démarquer et c’est à vingt ans que je suis entrée dans un groupe débutant tout juste. J’étais le plus vieux du groupe, cinq jeunes de dix-sept à dix-neuf ans, pour la plupart venus de familles accueillantes et bienveillantes, s’occupant de leurs protégés.

J’étais le dur du groupe, le leader et danseur principal, tout ce dont j’avais besoin pour m’imposer dans ce milieu qui me plaisait tant. Idole ? Les donzelles te tombaient dans les bras, comme ça, en un claquement de doigt.

Elles n’attendaient que ça, que je viennes les voir pour les inviter à passer du bon temps. Comment rechigner ? Comment ne pas vouloir ? Le seul problème se trouvait être les médias, toujours à l’affut de la moindre information croustillante à se mettre sous la dent pour te l’enfoncer bien profond. Éviter les trop jeunes et trop prudes, je n’avais aucune envie de passer pour un vicieux et finir en prison.

J’suis pas trop fan des savonnettes, si vous voyez ce que je veux dire.

Passons ce sujet sensible, tout le monde s’en fout de ce qui peut se passer dans ma chambre, même les membres de mon groupe qui avaient parfois du mal à supporter mon caractère. Que voulez-vous, connard un jour, connard toujours.

Mon agence insista pour que je prenne des cours de chants, refusant d’engager un chanteur supplémentaire dans la troupe et déstabiliser le public, j’ai pas vraiment eu le choix, c’était ça ou l’exclusion du groupe. Bah ouais, c’est comme ça que voulez-vous.

Je me suis donc retrouvé là, comme un con, à prendre des cours de vocaliste avec le drôle de la bande, chanteur principal faisant vibrer les ovaires des drôlesses l’écoutant. Il se sentait plus le pauvre, se pensant presque supérieur en se permettant des réflexions, « Je t’apprends comment bouger ton cul ? Non ? Alors ta gueule. », ça résonnait toujours comme ça, soit il partait, soit il ripostait.

Ou plutôt, correction, il a riposté une fois, une seule. Je lui ai explosé le nez en retour. Me chercher semblait être une mauvaise idée et il en a fait les lamentables frais. Dur la vie.

On m’a forcément banni de l’agence, me jetant ailleurs du haut de mes vingt-trois ans, dans un groupe beaucoup plus populaire avec des membres au caractère bien plus hargneux que les précédents.

J’ai vite fermé ma gueule quand le leader m’a menacé de m’éclater contre le mur si je venais à me la jouer solo, j’ai compris le message du premier coup visiblement. J’ai jamais rien dit, j’ai jamais rien fait, j’ai juste suivi les ordres.

« Faudra faire comme si, faudra faire comme ça. » ça m’a fait chier au bout de deux ans, « Tu veux pas non plus m’apprendre à me servir de ma queue tant que t’y es ? » Ça leur a pas plu et j’ai encore giclé ailleurs.

On m’a finalement proposé un contrat intéressant, expatrié ailleurs, à Paris plus exactement, dans une agence s’occupant d’un unique groupe coréen à la popularité satisfaisante, se faisant connaître un peu plus chaque jour.

J’ai accepté, et c’est surement à ce moment-là que j’ai remercié mes parents du plus profond de mon cul, merci de m’avoir poussé à apprendre l’anglais et le français, merci.
Je ne peux passer le moment où je suis rentrée dans cette agence avec ma classe de connard légendaire, et je ne peux pas louper le passage où je l’ai rencontré, elle. « MON DIEU ! Tes cheveux quoi ils sont trop beaux ! T’es trop trop belle ! ». Avais-je oublier de préciser que de dos, les gens avaient tendance à me prendre pour une femme ? Surtout à cette époque où j’avais laissé pousser mes cheveux ?

Le choc interplanétaire pour la pauvre Andromaque, cette jeune mannequin travaillant dans la même filiale. Drôle de rencontre vous pensez ? C’est vrai, elle m’a fui aussitôt, gênée et désolée, partant se cacher derrière son photographe en s’excusant.

Les années sont passées sans grande difficulté, me permettant de me familiariser avec le pays et la ville, apprenant à supporter les hybrides et les autres conneries du genre. Je me suis rapidement attachée à Andromaque, m’investissant à fond pour l’agence jusqu’à faire des heures supplémentaires en tant que manager, cherchant en permanence des contacts avec diverses entreprises ou agences voisines pour augmenter notre popularité.

C’dur la vie d’idole, j’vous assure …
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